L’héritage. Un vieil Auvergnat agonise sur son lit : « Je sens que l’heure est venue. Le notaire m’a dit qu’il fallait faire mon testament. Alors voilà : pour toi l’André, 500.000 € qui te permettront d’acheter les terres du voisin. Pour toi l’Gaspard, 400.000 € pour t’installer à la ville. Pour toi la Marie, bonne épouse, 300.000 € pour toute l’affection que tu m’as apportée. » Alors il expire et dans un dernier soupir, murmure : « Voilà une bonne chose de faite ! Mais où vont-ils trouver cet argent, nom de Dieu ? »
Source : La Montagne
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