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Maurs la Jolie

La Perle du Cantal

Culte et reliques de Saint Césaire à Maurs 2/2

Publié le 13 Janvier 2025 par Maurs la Jolie dans Eglise, Hier et aujourd'hui, Personnalités

Le 2 mai 1739, Pierre LACARRIERE, prêtre religieux, ancien sacristain du monastère, cède audit monastère un bois châtaigner, cis aux appartenances du village de Germès, à la condition que le sacristain d'alors et ses successeurs entretiendront la lampe qui est devant l'autel de Saint Césaire, dans l'église du monastère, depuis les premières vêpres de chaque dimanche jusqu'aux secondes, et durant toute l'octave de la fête du Saint, jour et nuit. De plus, s'il y a un excédent de revenu, il sera employé à la réparation du reliquaire ou de la chapelle du Saint. Ce bois était affermé dix livres à la fin du dernier siècle. Trente-cinq ans plus tard, DARSES, prêtre-bénédictin s'oblige de tenir la sacristie et, entre autres choses, de fournir l'huile de la lampe de Saint-Césaire, du samedi à vêpres jusqu'aux vêpres du dimanche, et de payer les porteurs de la relique de Saint Césaire, le jour de la fête (1er mai 1774).
Ajoutons que les registres de baptême aux XVIIIe et XVIIIe siècles, témoignent que le nom de Césaire était donné à beaucoup d'enfants. Encore aujourd'hui plusieurs familles se font l'honneur d'imposer à leurs nouveaux nés le nom béni du glorieux patron de la localité.
Après les documents, interrogeons les monuments. L'église actuelle, avons-nous dit, fut bâtie dans le courant du XIVe siècle, mais le style du portail, qui regarde le couchant, annonce le XVe siècle. On y voyait jadis, dans une niche en pierre,  une statue du Saint patron. Au-dessous se voit l'écusson abbatial de la crosse et de la (P98) mitre, mais les armoiries en ont disparu, brisées par la Révolution.
Dans le commencement de ce siècle, on voyait encore à la fenêtre centrale du chevet, un vitrail portant la date de 1406, qui représentait, entre autres figures, Saint Césaire en habits pontificaux.
Un second vitrail, posé en 1853, l'a remplacé et montre le Saint Patron avec la crosse, la mitre et le pallium, insigne que le grand archevêque fut le premier à recevoir du pape. De la main droite il tient une plume et de la gauche un livre, attribut des docteurs.
Sur un panneau des belles boiseries du chœur, sculptées au XVIe siècles,

Saint Césaire est aussi représenté, mais un peu différemment. La main droite est levée et bénit à la manière latine, c'est-à-dire avec trois doigts ouvert ;  la main gauche porte une crosse dont la partie supérieure manque et un livre, sans doute le livre des Evangiles. Il le tient ouvert comme pour inviter les générations qui le suivent à garder toujours les principes de l'Evangile, et à savoir, quand il le faut, s'inspirer de ses maximes.
Quant à la chapelle où sont actuellement conservées les reliques de Saint Césaire, elle me parait avoir été reconstruite au XVIIe siècle, sur l'emplacement d'une chapelle plus ancienne, dont on retrouve des vestiges. Cette construction est adossée à un pan coupé de l'église (côté du sud), mais elle ne lui est pas exactement parallèle, ce qui produit un effet assez disgracieux. Elle mesure dans œuvre 8 mètres 50 de longueur, sur 3 mètres de largueur.

   L'entrée de la chapelle est dans le chevet de l'église, du côté droit, c'est une ouverture étroite, percée en biais dans les deux murs, celui de la chapelle et celui de l'église. A côté de l'entrée, on remarque le tronc de Saint Césaire, creusé dans l'épaisseur de la muraille, garni de ferrures et d'un verrou très solides.

A la suite de ce tronc se trouve une grande ouverture carrée, depuis longtemps fermée et servant aujourd'hui d'armoire. Pourquoi cette ouverture ? sinon pour permettre aux pèlerins de voir la statue-reliquaire sans l'approcher. Anciennement en effet cette ouverture, comme l'entrée de la chapelle, était défendue par une grille en fer, à barreaux épais, pour empêcher les vols de reliques, si fréquents au Moyen-Âge.
Si nous entrons dans la chapelle, nous la voyons éclairée par trois fenêtres, dont deux percées dans le mur du midi, mais inégales de dimensions et de formes, affectent des prétentions à l'ogive ; la troisième qui s'ouvre à l'ouest est absolument sans caractère et paraît être plus récente.
La voûte soutenue par des arcs ogives assez purs est divisé en deux travées, dans chacune desquelles sont peints quatre bustes de Saints. Ce sont, dans la travée du fond : Saint Louis, Sainte Elisabeth, Sainte Scolastique et Saint Joseph. Dans la travée où est l'autel : Saint Césaire, Saint Pierre, Saint Paul et Saint Benoît. Ces peintures ont été faites en 1868. Les deux clefs de voûtes sont intéressantes pour fixer la date de la construction, par le moyen des écussons qu'on y voit gravés.

🛡️  Le premier écusson porte au 1er et au 4è un château crénelé, surmonté de trois donjons, qui sont les armoiries du château de Murat-la-Gasse et de Castelnau ; au 2è et 3è un lion qui est de Carlat, ou mieux Châteauneuf, le tout surmonté de la mitre et de la crosse abbatiale. Un Guy de CHÂTEAUNEUF était abbé en 1508 et un Guy de CASTELNAU en 1524. Nous serions portés à voir dans cet écusson le sceau du monastère qu'on aurait composé des armoiries réunies de deux nobles abbés du commencement du XVIème siècle. Ces même armoiries se voient aussi sur la stalle du milieu, au cœur de l'église.
Le deuxième écusson porte au 1er trois fasces et 2è un roc d'échiquier. D'après le Journal de Firmin SUC, ces armes sont celles des deux premiers dignitaires du couvent, Antoine CARTANÈDE, cellerier, et Gabriel de ROQUEMAUREL, sacristain, mentionnés dans un acte de 1674, par les soins desquels la chapelle aurait été restaurée, où même refaite. Si on a réuni ici leurs armes, c'est apparemment parce qu'il manquait une clef de voûte pour y mettre un troisième écusson.

Quoi qu'il en soit de la date précise de la construction de cette chapelle, et du nom de ceux qui l'élevèrent, elle n'en témoigne pas moins, dans son muet langage, de la pitié des religieux et des pèlerins envers Saint Césaire, dans la période qui a précédé la Révolution.
🔔 Pour passer à un autre ordre de monument, on est surpris, vu la grande dévotion de Maurs pour son patron, de ne trouver son nom sur aucunes des quatre cloches renfermées dans le clocher de l'église et fondues à des dates différents.
La plus ancienne est 1773, la plus récente de 1831.
Deux sont dédiées à la Sainte Vierge, une à Saint Sulpice, aucune à Saint Césaire.

Source : 📖 "Vie Populaire de Saint Césaire, Archevêque d'Arles, Patron de Maurs" par Firmin SUC , Maursois de naissance 1864-1887

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Culte et reliques de Saint Césaire à Maurs 1/2

Publié le 12 Janvier 2025 par Maurs la Jolie dans Eglise, Hier et aujourd'hui, Personnalités

✝️ Depuis 600* ans le chef de Saint-Césaire, évêque d'Arles, est conservé dans l'église de Maurs, petite ville de la Hte Auvergne, où nous allons maintenant suivre l'histoire de son culte.
    Maurs est situé au Sud-Ouest du département du Cantal, auquel il ouvre les portes du Midi. Son église paroissiale, bâtie au XIVe siècle, est l'ancienne église d'une abbaye de Bénédictins, placée autrefois sous l'évocation de Saint Pierre. L'église paroissiale primitive, qui s'élevait à quelques pas seulement, au midi de l'église actuelle, était sous l'évocation de Saint Sulpice, archevêque de Bourges, et fut détruite à l'époque de la Révolution.


✝︎     Depuis lors Saint Sulpice est devenu le titulaire de l'ancienne église bénédictine, où une chapelle lui a été consacrée, mais Saint Césaire est demeuré le patron du lieu, et ses reliques ont toujours été vénérées dans l'église actuelle.
✝︎     L'abbaye de Maurs est mentionnée la première fois dans une bulle de Saint Grégoire VII,  du 20 avril 1080, qui ordonne de restituer à l'abbaye d'Aurillac le monastère de Maurs avec ses dépendances, et autres et possessions justement concédées autrefois à la dite abbaye et qui depuis, lui avaient été enlevées ou grevées de mauvaises servitudes.
Maurs en appela à Urbain II de la décision qui le plaçait sous la dépendance d'Aurillac. Mais une nouvelle bulle, datée du 19 avril 1096, adressée à Pierre de CISIÈRES, abbé d'Aurillac, confirme la sentence de Grégoire VII. Il y est dit que les églises de Maurs, en Auvergne, et de Poliniac, en Agenois, avaient été récemment acquises au monastère d'Aurillac, auquel le pape en confirme à perpétuité la concession. Quand Urbain II écrit : Maurs et Poliniac récemment acquis, il fait sans aucun doute allusion à la bulle de 1080. En tout cas ce passage prouve clairement qu'Aurillac n'a ni fondé, ni possédé à l'origine le monastère de Maurs, lequel du reste ne tarda guère à s'affranchir de la tutelle de son voisin.
Ce qui peut expliquer les revendications d'Aurillac sur Maurs, c'est que ce dernier monastère avait été fondé sur les terres ayant autrefois appartenu à Saint Géraud, et cédées ensuite, par les abbés d'Aurillac, aux vicomtes du Carladès. Quant au fondateur  lui-même, je ne crois pas qu'il soit autre que Béranger, vicomte de Carlat, et tout porte à penser qu'il ne s'écoula pas longtemps entre la fondation et la bulle de 1080.

✝︎     Il serait intéressant de savoir d'où venaient les moines que  Béranger appela dans le monastère récemment fondé par lui. Le Dictionnaire statistique et historique du Cantal (T. iv,p.308), nous dit que "suivant certains, l'abbaye dut son origine à des moines venus de Marseille. " J'avoue que cette opinion est la mienne et en voici les motifs.
    Béranger avait deux frères, Bernard et Richard, qui prirent l'habit religieux dans la célèbre abbaye de Saint-Victor, Bernard en fut abbé de 1065 à 1079 et honoré de la confiance de Grégoire VII.
Son frère Richard lui succéda, fut fait cardinal et devint archevêque de Narbonne. Il est tout naturel que Béranger, voulant fonder une abbaye sur ses terres, ai songé à Saint-Victor pour avoir les premiers religieux. Ce serait donc entre les années 1065 et 1080 que les Bénédictins vinrent s'établir à Maurs. Après ces indications sommaires, dont je m'abstiens de donner ici les preuves, sur l'époque de la première fondation de l'église où est conservé le chef de Saint-Césaire, venons-en à la description du buste remarquable qui le renferme. C'est une des rares œuvres du beau moyen-âge, qui ait échappé à la destruction.
Ce buste, presque de grandeur naturelle, mesure 90 centimètres de hauteur. Le Saint est représenté plus qu'à demi-corps, bénissant de la main droite et la main gauche étendue en signe de protection. La statue est en bois de chêne; la tête et les mains, sans proportions et sans grâce, sont couvertes d'une peinture des plus grossières. Mais le corps est revêtu de larmes d'argent et de cuivre doré relevées de nombreuses pierres précieuses et de dessins du meilleur goût. Saint-Césaire est représenté vêtu de ses habits pontificaux. L'amict, la chasuble et l'étole sont en cuivre doré; l'aube et la ceinture en argent. Les pierres fines qui rehaussent l'amict, la croix et les orfrois de la chasuble, tant devant que derrière, étaient primitivement au nombre de trois cents; il en manque à peine une trentaine.
On y remarque aussi quelques émaux.
    Une petite porte d'argent, richement ornée de filigranes et de pierreries, s'ouvre sur la poitrine et laisse voir une partie du crâne placé à l'intérieur.
Sur le revers de la porte est gravée une inscription qui annonce que : Là est le chef de Saint-Césaire, évêque d'Arles. La forme des caractères de l'inscription et de la marque du fabricant F I G accuse la seconde moitié du XIIIe siècle. C'est aussi l'époque que semble indiquer la croix dessinée sur la chasuble, croix qui ne commence à paraître en cet endroit que vers 1240.
Pour fixer un peu plus positivement la date de notre reliquaire, nous avons un autre document certain : c'est un sceau des consules de Maurs qui se trouve en double aux archives nationales.

Il est rond et mesure 6 centimètres de diamètre. Il est appendu à une procuration de 1308 et à un acte de 1284. D'un côté il représente quatre consules qui délibèrent. Légende : Sigillum consulum ville de Maurecis "Sceau des consuls de la ville de Maurs;" au revers on voit Saint-Césaire, patron de la ville, accosté de deux fleurs de lys, signe de protection royale. Légende : Signum sancti Cesarii de Maurad. "Effigie de Saint-Césaire de Maurs." Ce sceau doit être de l'année 1281, date de la création des consuls à Maurs. L'effigie du sceau a une ressemblance frappante avec le buste; il n'y a qu'une différence. Saint-Césaire porte, sur le sceau, une mitre qui n'existe pas sur le buste, du moins qui n'est pas adhérente. Car les jours de fête on lui met une mitre qui à été donnée dans le premier quart de ce siècle, par Mgr de SALAMON, évêque de Saint-Flour.
Bouillet avance, sans en donner de preuves, que les reliques de Saint-Césaire ont été apportées à  Maurs, par Guillaume de la Garde, originaire de Parlan, qui avait succédé en 1360 à son frère Etienne, sur le siège d'Arles. Mais cette date est trop récente, et l'existence du sceau de Maurs en 1281, ou sûrement en 1284, démontre que le buste, et par conséquent la relique qu'il renferme, étaient déjà à Maurs plus de soixante-quinze ans auparavant.
✝︎     Deux autres objets précieux forment d'intéressants accessoires au buste de Saint-Césaire : une crosse et un anneau épiscopal, dont il faut maintenant dire un mot.

Les jours de fête, on place dans la main gauche du buste, une belle crosse en cuivre doré du XIIIe siècle, dont il ne reste que la partie supérieure, la hampe et la pointe ayant disparu depuis longtemps sans doute. Ornée d'arabesques, d'émaux, de pierreries, d'animaux fantastiques, cette crosse présente, au centre de la volute, les deux figures de l'Annonciation, sujet fréquemment traité à cette place, durant le moyen-âge. L'orfèvrerie, l'émaillerie et la joaillerie ont concouru à la fabrication de ce petit ustensile sacré, qui est certainement un travail de Limoges et dont la conservation est à peu près parfaite.
Œuvre de la fin du XIIIe siècle, la crosse de Maurs a peut-être appartenu à Etienne ou à Guillaume de la Garde et a pu être offerte par eux, en ex-voto, au saint patron du monastère et de la ville. Il en est peut-être ainsi de l'anneau pastoral qui est passé au doigt majeur de Saint-Césaire et que nous allons décrire à son tour, mais brièvement.
💍 Cet anneau en argent doré. Le diamètre dénote un anneau qui servait aux offices pontificaux, lorsque l'évêque célèbre solennellement avec des gants. 

 Autour de la verge on lit : SCS. Cesariuis. "Saint Césaire" Le chaton devait être primitivement orné d'une pierre remplacée au XVe siècle par une pâte à l'effigie de l'agneau pascal. L'inscription, en caractères de transition, indique la fin du XIIe siècle et semble être contemporaine de la fabrication de l'objet qui serait ainsi antérieur de plus de soixante ans au buste lui-même. Selon toute probabilité, on est ici en présence d'un autre ex-voto et l'inscription qui y est gravée n'a d'autre but que de préciser le caractère de l'offrande votive.
💍   L'anneau a pu être offert dans le principe, à Arles, puis être transporté à Maurs avec le reliquaire, dans la seconde moitié du XIIIe siècle. Il est possible aussi qu'ayant servi aux archevêques de la Garde, il ait été donné par l'un d'eux, comme la crosse, pour l'embellissement du chef de Saint-Césaire.
    Si au moyen de ces quatre monuments, le buste, le sceau, la crosse et l'anneau, nous sommes parvenus à fixer approximativement l'époque où cette précieuse relique a été apportée en Auvergne, c'est à dire dans le troisième quart du XIIIe siècle, toutes nos recherches ont étés infructueuses pour découvrir par qui, pour quelle causes, et dans quelles circonstances s'est faite cette translation.
Quoi qu'il en soit de ces détails qui ne nous pas été conservés, on ne peut mettre en doute l'authenticité de la relique de Maurs. La richesse du buste, l'inscription antique et formelle qu'on lit sur la porte du reliquaire, surtout le grand culte dont la porte du reliquaire, surtout le grand culte dont il est l'objet, en sont de sûrs garants.
On remarquera en outre que le chef de Saint-Césaire n'est jamais mentionné dans les procès-verbaux des reliques d'Arles reproduits plus haut (chap.VII).
C'est là une preuve négative qui a bien sa valeur.
    Jusqu'à la révolution nous ne trouverons que peu de documents sur le culte de Saint-Césaire. Voici cependant quelques fondations que nous avons découvertes échelonnées de loin en loin.
Au XIVe siècle, nous voyons Hugues de la Bourgade, ou de la Tour, léguer, dans son testament, six deniers de Cahors à chacune des confréries de Saint-Césaire et de Saint-Sulpice de Maurs (22 janvier 1346). Il y avait donc dès cette époque, et peut-être longtemps auparavant, une confrérie particulière établie dans l'église abbatiale, en l'honneur de Saint-Césaire, patron du lieu, comme il y en avait une, dans l'église paroissiale, en l'honneur de Saint- Sulpice qui en était, comme nous l'avons dit, le titulaire.
Deux ans après, Jean du MAS, de Maurs, laisse aussi, pour la nouvelle chandelle de Saint-Césaire, qui brûle jour et nuit en l'honneur de Dieu, de la glorieuse Vierge Marie et de Saint-Césaire, une demi-livre de cire renduelle, qui devra être payée, chaque année, au jour anniversaire de son décès (8 septembre 1348).
Le 15 septembre 1472, a lieu la fondation par Jean de la SALLE, sacristain, d'un obit à dire le lendemain de la fête de Saint-Césaire, avec messe haute et répons pour les morts, sur son tombeau.
Dans le terrier d'Armand, on y trouve la simple mention d'un pré dit : Saint Cesary, confrontant avec le chemin de Maurs à Saint-Antoine (acte du 31 janvier 1534).
Nous n'avons pu trouver, dans le cours du XVIIe siècle, aucun souvenir écrit du culte de Saint-Césaire; mais il est évident qu'il ne dut pas subir d'éclipse durant le grand siècle. Au XVIIIe l'ancienne chandelle, ou cierges, de Saint-Césaire qui brûlait constamment autrefois devant son image, s'était transformée en une lampe qui n'était plus allumée que par intervalles.

✝️ 600* ans en 1891, rajouter 134 pour l'année 2025

Source : 📖 "Vie Populaire de Saint Césaire, Archevèque d'Arles, Patron de Maurs" par Firmin SUC , Maursois de naissance 1864-1887

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Concours de belote à Maurs

Publié le 11 Janvier 2025 par Maurs la Jolie dans Animations, Sport

Le Vélo Club Maursois vous propose un concours de belote le vendredi 24 janvier 2025 à la salle des fêtes de Maurs. Inscriptions à partir de 20h15. Début des parties 21h

Concours de belote à Maurs
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La chandeleur au sanctuaire N.D de Quézac

Publié le 10 Janvier 2025 par Maurs la Jolie dans Cantal-Auvergne

Un dimanche festif, rendez-vous le 2 février de 11h à 17h pour une messe suivie d'un repas tiré du sac à la maison Béthanie et de 14h30 à 17h un après-midi joyeux, détente, prière, témoignage, louange, convivialité…                        

La chandeleur au sanctuaire N.D de Quézac
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RN122 - Amélioration de la traversée de Maurs et de St-Etienne-de-Maurs

Publié le 9 Janvier 2025 par Maurs la Jolie dans Divers

RN122 - Amélioration de la traversée du secteur de Maurs et de Saint-Etienne-de-Maurs : le bilan de la concertation est disponible à télécharger sur le site de la DREAL AURA 🔺 ICI 🔻

Le bilan a été dévoilé en décembre dernier par la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) AURA.
Son choix s'est porté sur la variante 1A, conservant le tracé actuel, aménageant le partage de l'espace avec les piétons et les cyclistes et sécurisant les mobilités douces. Sans recourir à un contournement de la vallée.
Un choix qui suit la position globalement défendue par la population lors des concertations publiques et les délibérations prises par les conseils municipaux de Maurs et de St Etienne de Maurs en novembre dernier. Ainsi que la demande de l'Association des commerçants et artisans du pays de Maurs (ACAM). qui avait lancé une pétition recouvrant plus de 820 signatures...

RN122 - Amélioration de la traversée de Maurs et de St-Etienne-de-Maurs
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Conférence à Maurs

Publié le 8 Janvier 2025 par Maurs la Jolie dans Animations

Conférence à Maurs le lundi 20 janvier 2025 à 18h à la maison des services (en face de la caserne des pompiers)

Suite des aventures de Pass'Partou, Mireille et Bernard en Afrique Australe.

Par Mireille et Bernard MAGET, Voyageurs au long cours

Conférence à Maurs
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