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Pour une maîtresse femme la nommés MÉALLET est une maîtresse femme !
Dernièrement, son voisin LAVERGNE Géraud la rencontrant avec un attelage sur un chemin lui appartenant, la pria poliment de quitter cette voie de communication. La femme MÉALLET, qui a le diable au corps comme dit cet autre, qui ne voulu rien savoir. Au contraire, elle apostropha LAVERGNE et lui appliqua sur l'œil gauche un baiser... pardon un violent coup de bâton, démonstration amicale qui, on l'avouera, est infiniment moins agréable. Bref la gendarmerie a demander des comptes à cette maîtresse femme.
Source : Journaux en ligne Retronwews & Archives départementales du Cantal
En faisant quelques recherches j'ai découvert qu'un LAVERGNE Géraud habitait à la Drulhe en 1891 avec son épouse et ses deux enfants aisni qu'une famille MEALLET du même lieu et la diablesse se nommait BELGUIRAL Justine épouse MÉALLET Léon, voila donc les deux protagonistes de cette petite histoire ;)
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